Depuis longtemps, les journées du Patrimoine font dans le « culturtainment », combiné de divertissements et de culture.
Les Archives, élément inestimable du Patrimoine, qui requièrent silence et rigueur, y sont peu à leur aise.
Pourtant, elles ont tant à raconter à qui veut les entendre. La Cabre d’Or, qui se penche régulièrement sur ce Patrimoine du Silence, s’y essaie.

Les deux documents en date respectivement de 1846 et 1847 présentés ci-dessous démontrent l’utilité des Archives.

archives-2

 

 

archives-1

(source : Fonds d’Archives de Cabriès. Archives Départementales 13)

1846 : « J’ai l’honneur de vous dire qu’il me serait pas été difficile de vous produire les pièces que vous me demandez si toutefois elles avaient existé dans nos archives, rôles et autres pièces les plus anciennes Je pense qu’elles ont été adressées à Me Bernard, avocat, jointes au dossier que vous avez en main … »

1847 :  » Je m’empresse de vous faire savoir que l’acte de mariage de feu Pierre Heiriés de Bouc et de Thérèse Florens de Cabriès existe dans les archives de notre commune, mariés le 14 janvier 1777. »

FacebookTwitter

Les commentaires sont fermés.

Navigation entre les articles