Pour la 36ème édition de la Cabro d’Or d’octobre 2015, 1090 compétiteurs se sont présentés à l’arrivée des 5, 10 Kms et du semi-marathon (il n’y a plus de Marathon). De beaux résultats pour l’OCC, des records battus, un nouveau Challenge (Avocats de Marseille) et beaucoup de satisfactions individuelles.
Mais qu’en pensent les 2 000 et quelques pieds de ces coureurs de fond ? On a voulu mettre les pieds dans le plat.

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Les moustiques ont incommodé la période estivale. Rien de nouveau à cela : la presse locale d’autrefois le prouve par les extraits ci-dessous.
Ils piquent depuis la nuit des temps, tout le monde, sans distinction, en tous lieux, et jusque dans les tranchées de 1915 ou dans le camp de manoeuvre de Réaltor en 1876. Plus ou moins farfelues sont les armes qui leur sont opposées : sureau, tabac, pétrole, ricin …jusqu’à l’adoption d’un couple d’hirondelles dans la chambre à coucher !

En 2015, on n’est pas plus avancé. Vous, avez-vous un « truc » pour les soirées en terrasse ?

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Le Grand Aïoli de Calas approche de la cinquantaine.
Il est né en « 68 », époque où l’on voulait « tuer le père », mais paradoxe, il se raccroche à la longue tradition des fêtes villageoises et votives de grand-papa ! Rien de subversif dans ce grand rassemblement de familles et d’amis , et contrairement au slogan soixanthuitard « Il est interdit d’interdire », ici, il est franchement interdit de faire la bèbo !
Quelques images de précédents aïolis rapportées par la Cabre d’Or. Son numéro 78 de 2004 lui avait consacré un passionnant Dossier.

n° 78 2004 a copien° 1 1972 Aiolin° 6 1973 Aioli 2

n° 15 1977 Aioli copie

n° 40 1987 Aioli 1 copie

n° 47 1988 Aioli copien° 64 1997 Aiolin°85 2007 Aiolin° 77 2004 Aioli copie

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En feuilletant la Cabre d’or
n° 9 1975A l’occasion de la 40ème édition du Gala de l’école Calas Danse, la Cabre d’Or lui adresse tous ses meilleurs vœux. Nous ne reviendrons pas sur cette belle aventure dont le numéro 96 se faisait l’écho lors du décès de sa fondatrice, Mme Gambier. Nous nous attarderons ici sur quelques aspects des bouleversements qui l’ont traversée.
Il est frappant de constater combien l’expression artistique et le goût du public ont changé : au répertoire classique du début, puis au jazz et à la chorégraphie contemporaine des décennies suivantes, se sont invitées peu à peu d’autres expressions rythmiques issues de la rue ou exotiques : hip hop, ragga, zumba, etc… Désormais les figures au sol du breakdance l’emportent sur celles hiératiques de la danse classique. Les sneakers et leggings remplacent les pointes et les tutus, et le noir des tops et des shorts supplante l’ivoire des justaucorps. On applaudit aux foot works, aux performances du freeze, aux déhanchements de la salsa tandis que l’entrechat ne reçoit plus qu’une attention polie. Plutôt que Delibes ou Berlioz des premiers programmes, on convoque hits parade et comédies musicales. Les garçons, qui tenaient la danse pour un truc de filles, deviennent tellement nombreux, attirés aujourd’hui par le move et la perf – dans lesquels les filles leur tiennent la dragée haute – qu’ils se payent un « grand final garçons » au Gala 2015!
En revanche, restent les inamovibles : la fidélité du millier (et plus) de spectateurs, la revendication de transmettre un bon niveau dans une bonne ambiance, le dévouement des bénévoles et organisateurs, la multiplicité des tableaux où s’expriment rêves et passions.
Ainsi, bien des choses se sont passées durant ces 40 années, même si le temps ne semble pas être passé tant il y a eu du plaisir à le vivre à Calas Danse.
Hélène Martin

n° 22 1982

n° 31 1984

n° 37  1985

n° 43 1988n° 52 1991

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

n° 63 1996

 

 

n° 76 2003

 

DSC_2965                                                                    LE FINAL  2015

 

 

 

 

 

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Capricieux mois de mai dans le passé : on ne parlait pourtant pas de réchauffement climatique  ! Un article extrait d’un journal local du 16 mai 1856 indique qu’après un hiver sans rigueur et un milieu de printemps qui se faisait remarquer par la constance du temps à l’humide, un brusque revirement atmosphérique a cruellement fait souffrir nos campagnes. La lune rousse n’a pas voulu partir sans jouer un tour à sa façon : un abaissement subit de la température pendant la nuit a produit une gelée qui a fait de grands ravages parmi la tendre floraison. » De différents quartiers du terroir arrivent des rapports alarmants. Notre commune (ici, le secteur de Réaltor) n’est pas épargnée.

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Il y a 58 ans, un bon abbé voulait du « bien » à Cabriès : il inventa la « Bénédiction ». Et comme on bénissait les rameaux, les œufs de Pâques, les cloches des églises, lui, décida de bénir les chevaux, leurs cavaliers et toute la foule qui se pressait chaque année sur la petite colline de la Salette et, ensuite, s’en allait s’égayer à la fête.
C’était une époque moins compliquée, où la Bénédiction et la Fête formaient un tout sans qu’on y dresse des frontières.
Les organisateurs de cette 58ème édition, fraîchement émoulus, ont réussi à faire de la Bénédiction une Fête, et de faire de cette fête une bénédiction, sous le beau soleil revenu à Calas pour l’occasion.

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Dans son numéro 8, il y a de cela quelques années, La Cabre d’Or s’était associée à l’émotion qui avait marqué la mort de l’écrivain et cinéaste de la Provence, Marcel Pagnol. Aussi, La Cabre d’Or n’a pas voulu manquer les festivités organisées pour son 120ème anniversaire sous le Garlaban. « Cet auteur majeur qui fait de l’universel avec les quelques km2 qu’il a sous les pas » et qui, à chaque page, nous offre une rencontre charnelle avec les mots, reviendra-t-il à nouveau dans les rendez-vous culturels et festifs de Cabriès ?

 

 

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La Cabre d’Or a organisé une conférence sur le virus Ebola, avec l’un des codécouvreurs du virus, en 1976, le Médecin Général, Tropicaliste, Gilbert Raffier, domicilié depuis de nombreuses années à Cabriès.
Des extraits de cette conférence qui s’est tenue le 19 février 2015 à l’Auditorium de la Maison des Arts de Cabriès vous sont proposés sur le blog de la Cabre d’Or.

 

 

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Dans son numéro 99, la Cabre d’Or a publié un entretien avec le Docteur Gilbert Raffier de Cabriès, codécouvreur du virus Ebola en 1976. Mais la Cabre d’Or a voulu aller plus loin : elle a pris l’initiative cette fois d’organiser une conférence avec le Docteur Raffier dans l’Auditorium de la Maison des Arts. Cette conférence intitulée « Ebola, comme si c’était hier » à laquelle nous vous convions a lieu le Jeudi 19 février à 19 h.
Cette conférence est la première des « Conférences de la Cabre d’Or ». La Cabre d’Or, en effet, se propose de relayer quelques conférences données à Cabriès chaque année soit dans le cadre d’un article de la revue, soit par la diffusion d’extraits sur son blog, cabredor.cabries.fr.

                 

 Conférence de la Cabre d’or
Ebola, « comme si c’était hier »
par le Docteur Gilbert Raffier

 Médecin Général, Tropicaliste
Jeudi 19 février 2015 à 19 h
  Auditorium Pierre Malbosc

   Maison des Arts

    CABRIES

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